Ex nihilo Neil

26 août 2024

Lépidoptères

On commence avec les insectes préférés de la plupart des gens : les papillons, ou lépidoptères, qui furent nombreux sur notre chemin. Bien sûr ce sont des classiques, mais on est quand même contents d'avoir réussi à prendre un flambé, grosse bestiole très belle mais assez farouche...

Un joli soufré (Colias hyale) pris sur le fait en Lot-et-Garonne.

Le myrtil (Maniola jurtina), lui aussi assez classique.

L'azuré commun (Polyommatus icarus), un joli petit
papillon au dessus des ailes bleu et au dessous moucheté.


Deux tircis (Pararge aegeria), papillons très communs. Vous les verrez souvent voleter
dans les rais de lumière des sous-bois, le mâle guettant les femelles pour
leur sauter dessus ou les autres mâles pour les défoncer.

Le citron (Gonepteryx rhamni), plutôt porté vers la dissimulation.

La belle prise : le flambé (Iphiclides podalirius), un des plus gros papillons
de nos régions, qui tend à rester toujours un peu trop loin pour prendre une
jolie photo.

La belle-dame ou vanesse des chardons (Vanessa cardui),
à ne pas confondre avec le vulcain auquel elle ressemble un peu.

Le fort joliment nommé cul-doré (Euproctis similis), que Bij a réussi
à saisir en Irlande. Un joli papillon de nuit blanc comme la neige, avec
juste un point doré que vous pouvez discerner sur la photo.
Notez que le papillon n'est pas grand, mais que la prêle sur laquelle il
est posé est gigantesque.

Un autre tircis que Bij a vu en Irlande. En tout cas je pense : les motifs
sont ceux d'un tircis (vous pouvez comparer avec ceux plus haut si
vous voulez), mais les couleurs ne sont pas les bonnes...

Un satyre, ou némusien, ou ariane, ou némutien, bref un Lasiommata maera,
vu la semaine dernière en région parisienne. Il s'est un peu fait manger l'aile...

Le brun des pélargoniums (Cacyreus marshalli), dont la chenille
se nourrit, comme son nom l'indique, de géraniums. Notez sa petite queue
au bout des ailes postérieures...

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