Ex nihilo Neil

27 novembre 2015

Le pouvoir du cube


Le week-end d'il y a deux semaines ayant été passablement difficile, entre attaques terroristes et attaques virales, nous avons résolu d'en passer une bonne partie au chaud, devant l'écran. Et pour cela, rien ne vaut Fez, le jeu de l'amour.


Fez est un jeu de Phil Fish (un mec qui a clairement des problèmes dans sa tête), magnifique de poésie et de classe. Vous dirigez Gomez, un petit personnage qui peut faire pivoter l'écran pour accéder à la troisième dimension, et vous êtes à la recherche des cubes assurant la cohésion du monde.

Bon, ça c'est la base, et n'importe quel péquin arrivera à retrouver les 32 cubes normaux sans trop de problème, terminant ainsi le jeu.

Mais le but n'est pas là, car Fez est un jeu truffé de secrets, de mystères, d'énigmes que l'on résout en recoupant des informations glanées çà et là, d'inscriptions cryptiques que vous apprenez peu à peu à traduire... 
En outre, le jeu ne contient aucun ennemi, les vies sont infinies, vous êtes totalement libre dans un univers immense et cohérent... c'est une expérience idéale pour s'évader quelques heures, et ça marche étonnamment bien à deux.

Bon, en fait ce n'est pas toujours parfaitement calme...

1 commentaire:

Bij a dit…

Qui dit "cubes normaux" dit qu'il y a des cubes qui ne sont pas normaux... Hmmm :)