Ex nihilo Neil

31 décembre 2019

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2017


Au début de l'année, je signe quelques travaux avec l'éditeur de jeux de rôle Sans Détour. Même si cette collaboration restera très ponctuelle, je suis très fier de moi. 


Un mois plus tard, après qu'un ami m'a vaguement présenté le concept, je m'attaque à Dark Souls, sans grande conviction au début. Je le finis trois mois plus tard, dans la douleur et la félicité. Une grande histoire d'amour a commencé.



A peu près en même temps, Emmanuel Macron est élu et je fais une crise de colite néphrétique. J'ai encore du mal à savoir lequel de ces événements a suscité le plus de douleur. Mais en même temps, on a droit à la campagne présidentielle la plus intéressante depuis très longtemps, à la désintégration des partis traditionnels et au bannissement de nombreux trous du cul qui ont pourri la vie politique française depuis des décennies. Mine de rien, on est en train de vivre l'Histoire.


En septembre, le reboot de DuckTales arrive sur les écrans... je suis fan instantané.


2018



On finit par déménager dans un appartement légèrement plus grand, à Montrouge, cité de Coluche et de Mœbius.
L'été voit le grand retour de la fête des copains que j'organisais dans le Sud-Ouest. Un succès qui sera réitéré.



Alors que les mouvements sociaux s'enflamment et que les gilets jaunissent, je lance un nouvel Hiver du grand crossover. Pas mal, il faut vraiment que je pérennise la formule... mais ce ne sera pas pour 2019. 


2019


En avril, From Software sort Sekiro: Shadows Die Twice, et je le finis avant que les guides ne sortent. Je suis fier, et toujours aussi amoureux des œuvres du studio. La prochaine décennie verra l'arrivée d'Elden Ring, je trépigne comme une écolière.



En mai, j'ai 40 ans. Comme plein d'autres gens cette année, un phénomène qui nous amènera jusqu'à la côte aquitaine, à Lacanau. 



Comme crise de la quarantaine, je me lance dans le jardinage. Enfin, j'assiste ma compagne qui se lance. On fait des radis et des haricots. C'est la gloire.



Je commence à flasher des invaders un peu partout, y compris à New York, où nous nous retrouvons en fin d'année pour un voyage comme on n'en fait pas cinquante dans sa vie. 

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