J'ai enfin reçu mon cadeau d'anniversaire (qui rappelons-le a lieu en mai) : l'album de Gilles Stella, Ton hirsute compagnon. J'avais déjà la version numérique (que nous avons écoutée en boucle l'été dernier), mais l'objet physique fait plaisir à voir.
Si j'ai un reproche à faire à l'album, c'est qu'il n'est pas l'album le plus génial de l'histoire de la musique. Il se veut un album un peu « blague », une espèce de produit dérivé de Chroma, mais voilà : Ton hirsute compagnon n'est pas au CD ce que Chroma est à la chronique vidéo (un game changer monumental et définitif – sérieux, si vous ne connaissez pas, allez voir Chroma !). C'est un bien faible reproche.
Les chansons restent solides, avec quelques sommets qui restent dans la tête pour la vie (Dino Disco Laser, Attention Dino Danger...) et l'indépassable Cheveux trop hauts. D'autres sont moins emballants à mon goût (Balade galactique ou Pas de plume). Mais si ma principale critique de l'album consiste à dire qu'il n'est pas au niveau d'un Oldelaf, j'espère qu'on me pardonnera.
La seule vraie petite déception vient de La Chanson des États, qui ne propose aucune nouvelle parole par rapport à l'ancienne version, juste un arrangement plus long. J'aurais aimé avoir tous les États-Unis représentés.
Pour le plaisir...
2 commentaires:
Je ne connais pas plus Gilles Stella, c'est toi qui m'a fait découvrir. en tout cas, "Cheveux trop hauts" me fait bien rigoler :-D :-D. J'ai faillé écrire, c'est poilant :-D
un album au poil
plus sérieusement une belle production, musicalement honnête, et avec le tube interplanétaire Dino Disco Laser.
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