Ex nihilo Neil

14 février 2020

La vallée de la rosée des étoiles


Le week-end dernier, donc, Bij était malade. Mais bien malade, hein, genre « Je peux pas venir vous aider à déménager ta cousine parce que j'arrive à peine à me lever », mais en ultrasons, parce qu'en prime elle était aphone.
Elle a donc fait une pause sur Ori and the Blind Forest et a passé le week-end sur un jeu relaxant n'exigeant pas de gros réflexes : Stardew Valley.



Stardew Valley, c'est un peu comme Don't Starve, la mort en moins. Du coup c'est très chill. En gros, vous arrivez dans une petite ville de campagne, dans la ferme que vous a léguée votre grand-père, et vous apprenez petit à petit à cultiver des légumes pour les vendre au marché.
Au fur et à mesure vous rencontrez les autres habitants, vous développez des relations avec eux, vous explorez une ancienne mine non loin, vous agrandissez votre exploitation, vous participez aux fêtes locales, etc., etc.

Je l'avais acheté il y a quelques années pour y jouer entre deux textes à corriger, malheureusement le jeu ne s'y prête pas vraiment : il ne sauvegarde qu'à la fin d'une journée, c'est-à-dire après environ vingt à vingt-cinq minutes de la vraie vie. Ce n'est pas compatible avec mon rythme de travail, où il faudrait pouvoir sauver rapidement en cas d'urgence. En revanche, pour un week-end reposant (et, comme l'expérience l'a montré, pour toutes les soirées qui suivent), c'est idéal.

On ne s'ennuie jamais, il y a toujours quelque chose à faire, mais on n'est jamais non plus en train de courir partout comme un poulet sans tête. Rien (à part la pluie) ne saurait nous empêcher d'arroser nos plantations au petit matin, avant d'aller entreprendre les activités de la journée. 
Un jeu reposant, que je conseille à tout le monde (mais aussi un aspirateur à temps libre modèle Dyson, attention !).

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