Ex nihilo Neil

13 septembre 2024

Les flammes de l'industrie

 

Le Bonheur : allégorie.

Après cinq ans de développement assidu, ça y est, Satisfactory est enfin sorti en version 1.0, et j'en ai déjà pris pour six heures au moment où j'écris ces lignes...

J'ai déjà longuement parlé de ce jeu incroyable où vous débarquez sur une planète sauvage et belle pour l'exploiter jusqu'au trognon. Vous explorez, vous cartographiez, vous analysez mais surtout vous minez, vous transformez, vous assemblez, vous expédiez. La 1.0 ajoute plein de petits trucs délicieux, de la qualité de vie et une « histoire », qui pour le moment est très discrète, mais c'est sûrement ce qu'il y avait de mieux à faire. Satisfactory n'est pas un jeu narratif à la Subnautica, c'est un immense bac à sable merveilleux où on peut se perdre des heures et des heures à tirer un câble pour exploiter un gisement de soufre perdu dans la pampa, optimiser la production de batteries ou rajouter quinze générateurs à essence parce qu'on en a assez de galérer niveau électricité. 

« L'ancien monde brûlera dans les flammes de l'industrie.
Les forêts tomberont. Un nouvel ordre naîtra.
 » 

Satisfactory c'est le bonheur, et si je m'arrête ce week-end, c'est vraiment parce que je dois aller à Annecy fêter l'anniversaire d'une copine (ça me fera sûrement du bien de m'aérer un brin), deux bonnes raisons pour ne pas garantir un post lundi prochain...

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